Au XIXᵉ siècle, ce plat représentait l’exemple parfait de la “seconde vie du pot-au-feu” : un art culinaire économique où rien ne se perdait.
Les cuisinières y excellaient en équilibrant fondant des oignons et saveur caramélisée du bœuf sauté, souvent accompagné d’une pomme de terre vapeur ou d’un simple morceau de pain trempé dans la sauce.
Recette extraite du Guide de la Bonne Cuisinière, par Mme C. Durandeau, Paris, Vermot Éditeur, fin du XIXᵉ siècle (13ᵉ édition).
















